15 sept. 2020

L'interview Bonbecs : Amélie Fléchais

 2020, année de la Bande-Dessinée !

Il nous reste encore 3 mois pour célébrer la BD au sein de nos bibliothèques. Des expositions se profilent dans les semaines à venir, à commencer par BD VS Manga (toutes les informations ici). Et début novembre, une exposition qui mettra en scène des héroïnes de BD totalement Badass!

En attendant, nous sommes ravis de partager avec vous l’interview bonbecs d'
Amélie Fléchais, la talentueuse dessinatrice de l'une de ces héroïnes : Molly, de la série Bergères Guerrières.
 


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- Quel est votre plus vieux souvenir de bonbec ?

J’ai vraiment dû creuser ma mémoire, mais il me semble que le premier livre qui m’ait marquée est « Michka » de Marie Colmont dans la collection « Les albums du père Castor ».




- Quel bonbec vous a donné envie de faire ce métier ?

Harry Potter sans hésitation !




- Quel est votre dernier bonbec ?

« Le Club des chats casse la baraque » de Yoon-Sun Park, c’est drôle et hyper inventif, ça a vraiment été un de mes coups de cœur de ces derniers mois.




- Quel bonbec avez-vous le plus partagé ou offert ?

« Hilda » de Like Pearson, ça a été une vraie bouffée d’air frais à sa sortie, en comparaison de ce qui se faisait traditionnellement en bande dessinée avec des héroïnes. Le folklore, le graphisme, les thématiques, tout est chouette !



- Quel est votre bonbec préféré dans votre production ?

Ah c’est une question difficile, mais je pense à Bergères Guerrières qui est la série où j’ai pu explorer le plus de thématiques qui me tenaient à cœur. Et je pense que c’est aussi la série que j’aurais voulu lire enfant, donc j’en suis vraiment satisfaite.



- En parlant de bonbec, quel est votre bonbon favori ?

Les oursons en guimauve et chocolat, c’est une tuerie ce truc !


- Des bonbons, il y en a de toutes sortes : caramels, sucre d’orge, bonbons au miel… et bien sûr, les bêtises !
Racontez-nous l’une de vos bêtises d’enfant.


Je me souviens qu’avec une amie et ma sœur, nous avions dessiné des Pokemons que nous avions ensuite vendus dans tout le voisinage du village où j’habitais, en faisant du porte à porte.
Les dessins étaient hideux, mais nous manipulions les gens en leur faisant croire que nous les vendions pour aider à payer notre voyage scolaire. 
Nous avons tout vendu et acheté des tonnes de bonbons avec la somme récoltée…
J’ai un peu honte quand j’y repense.

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Complètement "badass"et savoureusement "bonbec" → retrouvez  l'article que nous avions rédigé sur la série Bergères guerrières


 

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