1 déc. 2015

L'interview bonbecs : Samuel Ribeyron

La bibliothèque, c'est comme une boîte de bonbons, on ne sait pas toujours quoi choisir !
Dans notre boîte à bonbecs, nous vous présentons, entre autres choses, nos coups de cœur en matière de littérature jeunesse.

Nouveau rendez-vous, l'interview bonbecs invite un auteur ou un illustrateur à piocher dans sa propre boîte à bonbecs.


Pour cette première d'une longue série (nous l'espérons!), Samuel Ribeyron s'est gentiment prêté au jeu et a répondu à nos questions : 


(crédit photo BM Chambéry) 



- Quel est votre plus vieux souvenir de bonbec ?

Sylvain et Sylvette, on avait toute la collection à la maison.
Je les feuilletais bien avant de savoir lire.



- Quel bonbec vous a donné envie de faire ce métier ?

L'arbre sans fin de Ponti.



- Quel est votre dernier bonbec ?

Le chien dans la botte de Léon Maret.



- Quel bonbec avez-vous le plus partagé ou offert ?

Hulul et compagnie de Arnold Lobel.



- Quel est votre bonbec préféré dans votre production ?

Ce n'est pas très compliqué, parce que le plus personnel.



- En parlant de bonbec, quel est votre bonbon favori ?

Les œufs (au plat).

(crédit photo BM Chambéry) 

- Des bonbons, il y en a de toutes sortes : caramels, sucre d'orge, bonbons au miel... et bien sûr, les bêtises !
Racontez-nous l'une de vos bêtises d'enfant.

Chez le boucher de mon village, il y avait sur le comptoir un petit panier d'osier avec des petites choses que j'ai prises pour des bonbons. J'en ai glissé une poignée discrètement dans ma poche. En sortant lorsque je les ai mis dans la bouche, j'ai tout de suite tout recraché. Sous le regard de mon père, je suis retourné chez le boucher avec une pièce pour payer mon dû, un peu honteux d'avoir pris des gratons* pour des bonbons !!

*Les gratons (ou grattons) sont des résidus de viande et de graisse de porc, fondus et grillés.

********************

Pour prolonger cette interview, et dans le cadre de l'exposition Les crayons de Samuel Ribeyronnous vous invitons à assister à la rencontre avec Samuel Ribeyron, 
jeudi 3 décembre à 18h, à la médiathèque Jean-Jacques Rousseau.










Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire